TEVIS CUP 2010 : ( https://www.youtube.com/watch?v=ZyvzHjKBWvA TEVIS CUP 2016 :( https://www.youtube.com/watch?v=_oYNb9XGTmY#t=88.082122
FLORAC 2015 : ( http://www.160florac.com/endurance/images-du-passe/video.php
SEPT 2014 : ( https://www.youtube.com/watch?v=lnzp7b54mLg SHAGYA BARSONYKA
CHAMPIONAT D'EUROPE FLORAC 2011 : ( https://www.youtube.com/watch?v=G8sQXA3ghjE
Images du passé Historique de Florac
En 1975, le raid équestre les « 160 Km de Florac ® », fût à l'initiative du Parc National des Cévennes, la première grande épreuve d'endurance à cheval qui eut lieu en France. 35 ans après sa première édition, elle est devenue une des grands « classiques » de la discipline, mais aussi un véritable mythe… Course emblématique que tout cavalier d'endurance rêve un jour de gagner. Le mythe des « 160 Km de Florac » s'est bien sûr construit sur les difficultés de l'épreuve: dénivelés importants, terrains accidentés, températures extrêmes, longueur de la course, mais aussi sur la beauté, la grandeur, la diversité des paysages et des lieux traversés, situés en grande partie au cœur du Parc National des Cévennes. Labellisée en 2003, MASTER INTERNATIONAL, elle est aujourd'hui l'une des plus grandes courses mondiales. En 2010 ce sont 171 chevaux qui ont concouru pour le Testride du Championnat d'Europe, qui eut lieu l'année suivante. 2011 Championnat d'Europe FEI Open qui réunit 31 nations.
Gagnants de Florac
2014 - Major Armor, avec Bugenhaim Faleh Nasser S.s 2013- Kefraya Jaïs, avec Cécile Demierre 2012- Easy Fontnoire, avec Laurent Mosti 2011- Champion d'Europe Open, Ali Khalfan avec Kalifa , Championne d'Europe Maria Alvarez Ponton avec Nobby 2010 - Shararat, avec Sarah Chakil 2009 - Al Dabaran, avec Morgane Payen 2008 - Minnie du Cambou, avec Sophie Watteau 2007 - Shaman (Persik x Mebarka par Nichem), avec Cécile Demierre 2006 - Ganda Koy (Shogun x Slowacki par Persik), avec Franck Lance 2005 - Orkara, avec Katie Smith 2004 - Issane El Fayssett (Persik x Diardob par Diarex), avec Stephanie Arnal 2003 - Douar, avec Simon Bellot 2002 - Falene de la Drome, avec Cécile Miletto 2001 - Fabella des Mas, avec Ludovic Saroul 2000 - Decibelle de Paute, avec Celine Schwartz 1999 - Magida (Persik x Jerezana par Habdur), avec Denis Pesce 1998 - Seskia, avec Vincent Dupont 1997 - Ratzia d'Alauze (Persik x Azia Bint Djebelia par Fawzan), avec Denis Pesce 1996 - Shabaya al Shatane, avec Ollivier Yvon 1995 - Orizzanese, avec Dionisi Patrick 1994 - Tex (Persik x Vanda), avec Denis Pesce 1993 - Melfenik Hippomar, avec Denis Pesce 1992 - Radjani, avec Jerome Alonso 1991 - Quatiba, avec Genevieve Planas 1990 - Melfenik Hippomar (Persik x Belle), avec Denis Pesce 1989 - Outlaw Persik (Persik x Zilavka), avec Catherine Boisseron 1988 - Krempolis (Persik x Mercédès), avec Denis Pesce 1987 - Melfenik Hippomar (Persik x Belle), avec Denis Pesce 1986 - Krempolis (Persik x Mercédès), avec Denis Pesce 1985 - Ibrahim, avec M.Chabost 1984 - Incompris, avec Yves Aimé 1983 - Incompris, avec Yves Aimé 1982 - Krempolis (Persik x Mercédès), avec Hubert Baeyens
1975 et 1976 - Persik (Kankan x Pamiatka par Arax)  |  SOUVENIRS |  | FARISEU FLORAC 2006 CLIC SUR LA PHOTO et : FARISEU BOURG D'OISAN 2005
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|  ARABES ET SHAGYAS |  | Cheval de monture ou d'attelage Le Shagya, un cheval de selle Une race Impériale
Depuis 1789
En 1789 l'Empereur austro-hongrois Joseph II décide par décret d'équiper sa cavalerie de guerre de chevaux rapides, puissants et endurants aptes à servir aussi bien de montures que de chevaux d'attelage. Il choisit pour berceau de cette nouvelle race, le Haras Impérial de Babolna à 60 km à l'ouest de Budapest et impose des principes stricts : le croisement de juments autochtones à forte proportion de sang arabe car issues des invasions turques des XVI et XVIIeme siècles, avec des étalons arabes capturés lors des défaites napoléoniennes.
Après quelques « injections » de sang Lippizan ou Pur Sang Anglais pour étoffer le cadre et les allures, dès 1816 les étalons sont exclusivement arabes purs et choisis lors de missions d'importation au Moyen Orient, en Syrie et en Egypte.
A chacun correspond une lignée: DAHOMAN, AMURATH, GAZAL, O'BAJAN, SIGLAVY, MERSUCH… mais c'est le superbe syrien SHAGYA, gris truité, arrivé en 1836 à Babolna qui donne définitivement son nom à la race. Le développement alors se poursuit en Yougoslavie, en Roumanie, en Bulgarie avec une remarquable traçabilité jusqu'à 20 générations.
La race SHAGYA est reconnue en 1979 avec la création de l'Association Internationale de l'arabe Shagya, puis10 ans plus tard en France, grâce à l'AFCAS (Association Française du Cheval Arabe Shagya), au titre de « Race étrangère de cheval de selle».
Race Shagya
Historique Cheval de guerre : rêve de hussard ! Historique Cette race d'origine hongroise a été fondée en 1789 sur décret de l'empereur d'Autriche et roi de Hongrie Joseph II. Il s'agissait de faire un cheval de guerre endurant comme l'arabe mais avec davantage de cadre pour porter le hussard, son paquetage et tirer les canons... le modèle importait autant que le tempérament : inutile de risquer sa vie avec un animal trop rétif et peu fiable... Un cheval coopératif, résistant et puissant pour l'emporter sur les champs de bataille : un rêve de hussard !
Les débuts Les premiers effectifs remontent à la fin du 18ème siècle en Europe Centrale et sont liées à l'Empire austro-hongrois et à ses immenses besoins en chevaux de cavalerie dans le contexte des grandes guerres impériales de l'époque.
Décret de Joseph II instaurant le Haras impérial de Babolna Décret de Joseph II instaurant le Haras impérial de Babolna le 24 juin 1789.
L'année 1789 est souvent citée comme une date de référence pour cette race de chevaux d'origine arabe. Elle correspond à l'achat par l'Empereur Joseph II du domaine de Bábolna, situé à 60 km environ à l'ouest de Budapest, pour y établir le Haras Militaire Impérial et une station de remonte des courriers militaires. Le capitaine de cavalerie, Joseph Csekonics, alors en charge du Haras de Mezohegyes, fut à l'origine de cette décision et l'artisan des principes d'élevage (« Praktische Grundsätze die Pferdezucht betreffend », Pest, 1817) fondateurs de la race. Ces principes de sélection rigoureux furent introduits au début du 19ème siècle, si bien qu'à partir de 1816 seuls des étalons arabes ont été admis à saillir.
Attelage traditionnel à 4 chevaux à Babolna Attelage traditionnel à 4 chevaux à Babolna
D'autres haras militaires et stations de remonte austro-hongrois comme Radautz (aujourd'hui Radauti, en Roumanie) et Piber sont à associer dans la genèse de la race. Plus tard, la race poursuit son développement au nord du Danube, à Topolcianky (aujourd'hui en Slovaquie) et à Janow Podlaski (Pologne) ainsi qu'au sud de celui-ci dans l'ex-Yougoslavie, à Berik (aujourd'hui en Bosnie-Herzegovine), et au voisinage de la mer noire, à Mangalia (Roumanie) et Kabiuk (Bulgarie).
Statue équestre à Babolna Statue équestre à Babolna
La sélection Une sélection rigoureuse et une traçabilité minutieuse sont à la base de la race. Les pedigrees sont riches en informations et les livres généalogiques comptent parmi les plus anciens et les plus complets.
Pedigree de Schagya IX né en 1895 Pedigree de Schagya IX né en 1895.
Les juments ont été soigneusement sélectionnées, majoritairement parmi des juments autochtones à forte proportion de sang arabe, trace des invasions turques. Plusieurs lignées sont marquées par l'origine géographique de leurs ancêtres (Tscherk, Siebenburg, Moldavie, Hongrie, mais aussi l'immense domaine de Radautz). Occasionnellement, des pur-sangs anglais et des lipizzans ont été utilisés pour agrandir le cadre et améliorer les allures. «Moldvai», née en 1781, la plus ancienne jument autochtone, et «Tifle», née en 1810, une jument pur-sang arabe provenant d'Orient, comptent parmi les plus célèbres têtes de lignée de la race.
Tombe de O'Bajan au Haras impérial de Babolna Tombe de l'étalon O'Bajan à Babolna en Hongrie
Arabe-Shagya célèbres Plusieurs étalons pur-sang arabes importés du Moyen Orient (Syrie et Égypte, notamment) sont à l'origine des principales lignées de la race. Le plus célèbre est certainement Shagya, un modèle quasi-parfait gris truité, né en 1830. Après son arrivée à Bábolna en 1836, il lègue ses points forts à ses nombreux descendants et donnera son nom à la race. Les autres têtes de lignée remarquables se nomment Gazlan-Gazal, Koheilan, Mersuch, Dahoman, Siglavy, Siglavy-Bagdady, O'Bajan, Amurath et Kemir. Kuhailan Haifi, Kuhailan Zaid, Ibn Galal, Farag, El Sbaa et Nedjari comptent parmi les meilleurs améliorateurs utilisés plus tard.
Statue de l'arabe shagya au haras de Babolna Statue de l'arabe shagya au haras de Babolna
Développement de la race Le développement de la race s'est poursuivi à grande échelle, en élevage pur (livres généalogiques clos) avec un apport en sang neuf par croisement avec des chevaux pur-sang arabes ou arabes venant du désert et soigneusement sélectionnés. La traçabilité du processus est exceptionnelle et couvre jusqu'à une vingtaine de générations. |
|  AUTRES INFOS SHAGYAS |  | Si les shagyas sont des chevaux de sport, pourquoi n'ai-je pas entendu parler d'eux auparavant?
Acte de fondation du haras de Babolna, 1789 par Adele Furby, 1993
Vous n'êtes pas seul. En Europe, la race est souvent désignée comme la «Nouvelle-Vieille» race. Et, en vérité, elle l'est. Elle est «nouvelle» parce que les Shagyas ont été redécouverts par beaucoup de gens dans le monde, et elle est «vieille» car l'élevage Shagya a commencé il y'a 200 ans, en 1789, lorsque le haras d'État de Babolna a été crée en Hongrie.
La race Shagya a été développée pour être un cheval d'élite de la monarchie austro-hongroise, un cheval convenant à tous les usages militaires (pour l'attelage comme pour l'équitation), et également un cheval «améliorateur» – un cheval apte à être utilisé dans l'élevage en croisement pour améliorer les autres races. Elle fut créée en grande partie à partir de lignées arabes du désert mais il est arrivé que des traces de chevaux-légers de plusieurs races de Transylvanie ainsi que du Lippizan et du Pur Sang Anglais soient vus dans les pedigrees Shagya. La race doit son nom à un étalon d'origine arabe élevé en 1810 par la tribu des Bani Saher en Syrie, de la souche Siglavy Koheil. Il a été importé à Babolna en 1836. Ce Shagya était remarquablement fort et grand, toisant près de 1m 62. Il a exercé une telle influence sur la race que finalement l'Association Internationale du Shagya, la communauté internationale des éleveurs de Shagyas (ISG), a adopté ce nom pour une race qui avait été diversement connue en Europe comme «araberrasse» (race arabe), «arabes de Babolna», ou «race demi-arabes». Cette adoption officielle du terme «Shagya» n'a été effective qu'en 1978, de sorte que vous pouvez voir pourquoi, même en Europe, où le cheval shagya lui-même n'est pas si inconnu, l'usage commun du nom de la race est relativement nouveau. A titre d'exemple, en août 1989, lors du Championnat et Salon International de l'Association Shagya à Saint-Gall, en Suisse, un juge suisse professeur d'équitation m'a dit : «Vous savez, il y a un certain nombre d'années, j'ai eu un cheval et je me rends compte maintenant que c'était un shagya. Mais à l'époque il était juste considéré comme un cheval de sang arabe sans identité particulière. Je l'ai compris quand pour la première fois j'ai jugé comme instructeur un concours Shagya, et quand j'y repense, je me rends compte que c'était le meilleur cheval que j'ai jamais eu!», sincère éloge authentique pour une «nouvelle-ancienne» race !
Présentation du shagya Czikos lors de l'exposition Universelle à Paris en 1900 Le haras d'État de Babolna a développé les qualités du Shagya comme cheval de sport en lui donnant une résistance génétique grâce à des méthodes les plus efficaces. Tout d'abord, il a maintenu une série de tests de performance pour les juments et les étalons avant qu'ils aient été acceptés pour la reproduction. Les méthodes comprenaient un parcours de 770 kilomètres en 10 jours à travers les plaines, les forêts et les montagnes et 3,2 kilomètres de galop et de longs trajets en attelage. Les juments ainsi que les étalons ont également été envoyés au siège de régiments de cavalerie près des clubs de chasse où les officiers les montèrent dans les domaines de chasse. Un relevé détaillé décrivait l'aptitude au saut du cheval, sa vitesse, sa capacité de récupération, ses aptitudes sous la selle et le harnais, ainsi que sa frugalité. Les juments et des étalons qui ne répondaient pas à ces normes exigeantes lors de ces tests de performance étaient tous vendus aux enchères.
Deuxièmement, en plus de réaliser la sélection par des tests de performance, les Hongrois étaient en mesure d'utiliser un test sur une descendance de grande ampleur. Les nouveaux étalons arabes du désert furent proposés à 30 juments pendant trois années successives ; dix parmi les meilleures du haras, dix parmi celles de qualité moyenne, et dix des juments de qualité inférieure ont été utilisées, et, à la fin de la période de trois ans, tous les 90 descendants ont été soumis au comité de sélection pour leur évaluation. Si la progéniture n'avait pas été jugée assez bonne, tout le lot avait été vendu. Par conséquent, très peu d'étalons ont été effectivement autorisés à continuer dans la race.
étalon Koheilan VIII-1 (Koheilan IV x 10 Gazal) Troisièmement, les Hongrois ont réussi à maintenir la capacité athlétique et la force génétique par un mariage judicieux et soigné des lignées et avec un retrempage en croisement pur-sang arabes régulièrement répété (généralement une fois toutes les 4 générations). Cette méthode assure la prévisibilité génétique et protège des dangers de la consanguinité. Le principe génétique classique des «trois fois et une fois dessus» (théorie de Mendel) est illustré ici dans la réalité.
Une autre raison pour laquelle le Shagya est resté relativement inconnu est que les facteurs politiques et géographiques ont joué un grand rôle dans son histoire récente. Une grande majorité des Shagyas du monde étaient au mauvais endroit au mauvais moment à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Beaucoup ont été tués ou abattus pour être mangés, d'autres encore ont été capturés comme prises de la guerre et ont fini par se perdre. Peu de temps après, lorsque le régime communiste a repris la Hongrie dans les années 1950, l'élevage Shagya au Haras d'État de Babolna a été pitoyablement considéré comme une sous-priorité. Heureusement des éleveurs de chevaux connaisseurs des pays d'Europe occidentale ont réussi à sauver une partie des représentants les plus éminents de la race équine shagya – beaucoup ont été sauvés de l'abattoir de cette façon. Par conséquent, le flambeau de la reproduction en race pure shagya a été repris en l'Allemagne de l'Ouest, au Danemark, en Autriche et en Suisse. Ces derniers temps, les éleveurs shagya ont également organisé des regroupements d'éleveurs en Norvège, en Suède, en Italie, en France, aux Etats-Unis, au Canada et au Venezuela. En outre, les pays d'Europe orientale, la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie et la Roumanie ont un élevage Shagya toujours en activité.
Landsknecht, 1927 (Koheilan IV x Soldateska) Le pays ayant le plus de Shagyas aujourd'hui est le pays le plus souvent associé à l'élevage des chevaux de sport – l'Allemagne de l'Ouest. Il y a plus de 500 chevaux d'élevage là-bas, auxquels s'ajoutent environ 500 chevaux reproducteurs répartis parmi les autres pays membres de l'Association Internationale de race Shagya. En Allemagne, les Shagyas ont une excellente réputation en tant que chevaux de sport. Ils participent régulièrement aux divers tests de performance des 100 jours des étalons, rivalisant contre les races à sang-chaud, et plusieurs fois ils sont devenus champions ou championnes de réserve à Warendorf et Marbach – considérés comme les hauts lieux de l'élevage des chevaux de sang-chaud. Les Shagyas en race pure ont également contribué de manière significative au développement de ces races à sang-chaud, même allemandes. Probablement le Shagya le plus influent dans l'élevage à sang-chaud allemand serait une jument nommée JORDI. JORDI a été effectivement élevée en Pologne, et c'est là que son célèbre fils RAMZES est né. RAMZES avait pour père Rittersporn, un pur sang anglais. RAMZES est probablement mieux connu des Américains comme père du célèbre Condus, mais RAMZES a répandu son influence positive sur sept races différentes à sang-chaud allemand, et est appelé un «étalon siècle» en Europe. Il est considéré comme particulièrement remarquable pour sa capacité à engendrer des chevaux d'obstacles de qualité supérieure ainsi que des chevaux de dressage. Et sa mère était une Shagya.
étalon Shagya GAZAL VII Le deuxième Shagya le plus influent dans l'élevage à sang-chaud est GAZAL VII. GAZAL VII était l'étalon de tête au Haras État de Babolna depuis de nombreuses années, et a été importé en Allemagne dans les années 1960. Lui et plusieurs de ses fils et petits-fils ont survécu au Haras d'Etat Hanovrien de Celle, et ont également été utilisés pour les Trakehners, les Holsteiners et les Westphaliens. Fait intéressant, son petit-fils AMOR a également été loué à l'Etat autrichien au haras Lipizzan à Piber pour aider à régénérer la race.
Alors, quelle est cette race réellement parfaite ? Le Shagya est une race de taille moyenne (1, 52 -1, 63 mètre au garrot) un cheval typiquement arabe, mais avec de meilleures qualités de cheval de sport telles que davantage de densité osseuse, une ligne de dessus plus longue, un bassin incliné, un garrot proéminent, une combinaison d'ensemble améliorée et une meilleure ligne de dos. Ils ne sont pas juste une imitation de plus de la race pure Arabe. Ce ne sont pas non plus une imitation de sang-chaud. Ils sont Shagyas. Peut-être quelques photos vous aideront à vous faire une idée. Mais la meilleure initiation est d'en voir un de visu, car en le voyant, vous pouvez faire l'expérience de leur mouvement élégant et fluide associé à leur fierté, et à leur disposition au travail sur le terrain.
article écrit en 1993 par Adèle Furby – North America Shagya Society – États-Unis) |
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|  | |  | | DOCUMENTATIONS SERIEUSES SUR L'ENDURANCE | présentation de la discipline , réglementation :( tableau des vitesses)
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 | |  | | ETALON DECEDE AYANT TRES PEU PRODUIT | MERSUCH XVII EST LE PERE D'ATIM LA CHARBONNIERRE 4 FOIS DENOUSTE à la huitième génération importé de Roumanie en 2000 origines Hongrie |
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 | |  | | | | MERSUCH XVII 82M89 Né en 1989 importé de ROUMANIE |
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